mercredi 7 août 2013

La boulette...

Hier, rangeant les affaires des enfants dans leurs armoires respectives, j'entraperçois la didi se précipitant sur la terrasse de la façade. Prestement, elle se saisit des slips et culottes séchant à l'abri des gouttes et coupe la ficelle d'étendage...

Intriguée, je l'interroge. "c'est la voisine, elle est triste, les passants voient les sous-vêtements et ils rient. Sa maison n'est pas jolie. Il ne faut pas étendre là."

Et là, discussion. Le regard du voisinage est très important pour les népalais. Même sur une maison que l'on loue. En revanche, pas de remarques directes. Cela transite par Angana. C'est Angana qui nous informe si nous faisons trop de bruit (la porte de la terrasse du toi à tendance à claquer), si nous devons ranger les chaussures à l'intérieur... Avec Patrick, on adore.

Angana m'a également relaté que ce genre de remarques advient surtout avec les expatriés. Par exemple, les népalais ne laissent jamais de double de clés au proprio. Les étrangers, oui. Des propriétaires peuvent interdire les plantes à l'intérieur, leur arrosage abimant les parquets...

D'un côté, c'est pratique. La maison est surveillée, nous pouvons nous absenter. D'un autre côté, c'est pesant, notamment pour les petites culottes.

Sinon les enfants vont mieux, ils sont rentrés fourbus mais contents de la British School. Il en faut encore un peu mais la tendance est bonne. Une seule frustration : ils ont remarqué que beaucoup de leurs camarades n'avaient pas encore repris. Oups.

Hugues nous a apporté un bulletin impressionnant de l'école saluant ses efforts, sa gentillesse et sa progression. Ouf.

La bd s'appelle Louca, je recommande chaudement. Vivement le tome 3.

Monsieur Luc dans le short de Xavier (peut être aussi dans ses slips retrouvés dans le sac de Michel Garcin)

Un grand classique, Kid Paddle. Benoît s'est fait chic. C'est demandé aux élèves de la 6th form.

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