Il doit y avoir une formation spécifique proposée par le ministère de l'éducation népalais. Pour se retrouver dans la législation des différentes régions et sommets, il faut jongler entre les informations contradictoires des agences (sauf celle de Catherine :-) ). Surtout quand on pratique le hors piste (entendre le hors sentiers battus).
Tout d'abord, pour les trekkeurs, randonneurs lambdas, il faut prendre un Tims (trekker's information management system). Un joli document que l'on se procure à Katmandou, à Pokhara et des fois sur les parcours. Il faut deux photos et des roupies. Sauf si vous avez un permis de résident, plus diverses autres exceptions. Mais cela dépend aussi du trek que vous voulez faire : certaines zones sont ouvertes aux trekkers individuels (c'est à dire que vous avez le droit d'aller chercher vous-même votre tims), d'autres aux trekkers uniquement par agence (et là, c'est l'agence qui va les chercher, La liste avec agence est là.). Pour d'autres zones, vous n'avez pas le droit d'y aller.
Bien évidement, les prix varient d'un trek à l'autre et d'une année sur l'autre, sinon, ce serait trop simple. Ils s'étalent de 2000 roupies à plus de 500 dollars pour 10
jours comme pour le mustang (+50 dollars par journée supplémentaire....
mais c'est très beau).
Ensuite pour les trekkeurs sur neige (cela existe). Ils peuvent vouloir gravir des petits sommets faciles appelés trekking peak. Trois catégories là-aussi, les interdits, ceux de catégorie A (à 500 dollars le permis pour 5 personnes) et ceux de catégorie B (à 350 dollars pour 5 personnes). La liste est établie par la NMA, Népal Mountaineering Association. La liste est là.
Enfin, vous avez les sommets d'expédition, classés par altitude avec un traitement de faveur pour l'Everest (ce qui veut dire que c'est plus cher !). Pour chaque sommet, il existe trois prix, du plus cher au moins cher, printemps, automne et été/ hiver (la mousson). Les écarts vont du simple au quart.
Pour les sommets de trek ou d'expédition, une caution poubelle est demandée. Elle est remboursée si vous avez bien fait remplir votre papier dans une cahute adéquate dans la montagne...
Je ne sais pas si une telle politique est maligne ou non... D'un côté, cela oblige à passer par une agence tant cela semble compliqué et aléatoire ; de l'autre, cela donne parfois l'impression d'être racketté. Ils ont des belles montagnes, le savent et le font payer. Le sens du commerce ? :-)
Tout d'abord, pour les trekkeurs, randonneurs lambdas, il faut prendre un Tims (trekker's information management system). Un joli document que l'on se procure à Katmandou, à Pokhara et des fois sur les parcours. Il faut deux photos et des roupies. Sauf si vous avez un permis de résident, plus diverses autres exceptions. Mais cela dépend aussi du trek que vous voulez faire : certaines zones sont ouvertes aux trekkers individuels (c'est à dire que vous avez le droit d'aller chercher vous-même votre tims), d'autres aux trekkers uniquement par agence (et là, c'est l'agence qui va les chercher, La liste avec agence est là.). Pour d'autres zones, vous n'avez pas le droit d'y aller.
Doko de porteur ou sac à dos de trekker, faites votre choix |
Ensuite pour les trekkeurs sur neige (cela existe). Ils peuvent vouloir gravir des petits sommets faciles appelés trekking peak. Trois catégories là-aussi, les interdits, ceux de catégorie A (à 500 dollars le permis pour 5 personnes) et ceux de catégorie B (à 350 dollars pour 5 personnes). La liste est établie par la NMA, Népal Mountaineering Association. La liste est là.
Enfin, vous avez les sommets d'expédition, classés par altitude avec un traitement de faveur pour l'Everest (ce qui veut dire que c'est plus cher !). Pour chaque sommet, il existe trois prix, du plus cher au moins cher, printemps, automne et été/ hiver (la mousson). Les écarts vont du simple au quart.
Hugues et Luc en rando ; derrière un sommet... d'expédition car à plus de 6000 mètres (peut être ?) |
Pour les sommets de trek ou d'expédition, une caution poubelle est demandée. Elle est remboursée si vous avez bien fait remplir votre papier dans une cahute adéquate dans la montagne...
Je ne sais pas si une telle politique est maligne ou non... D'un côté, cela oblige à passer par une agence tant cela semble compliqué et aléatoire ; de l'autre, cela donne parfois l'impression d'être racketté. Ils ont des belles montagnes, le savent et le font payer. Le sens du commerce ? :-)
Nous allons rentrer dans quelle catégorie?
RépondreSupprimerFaudrait pas qu'en plus nous nous fassions racketter par ma propre soeur!!!!!!
N'as tu pas fait en effet une école de commerce???
Ca commence bien...
:-)))))))