Multiples déroutes ce week-end pour la famille wagnon. Concentrées sur la capitale a priori.
Cela commence par notre Mickey de service : nous avons une souris - un rat ? - qui habite dans la maison depuis maintenant un mois. Les pièges sont inefficaces ; on a tenté de la brûlée, rien ; et elle continue ses dégâts impitoyablement. Ce matin, nous avons trouvé des copeaux de bois, des sacs en plastique en lambeaux - biquette se prépare pour l'hiver - et des pommes rognées. Elle a laissé le pain tranquille. Merci.
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les copeaux dans le placard : par où veut-elle aller ? |
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Trognons de pomme : elle les a fait tomber dans la cendre auparavant, sans soin, va. |
Deuxième déroute, cuisante, l'équipe de la British School a pris une rouste face à celle de la Lincoln. 1 à 9 ou 10, ce n'est pas le nombre de joueurs, mais le score. Aïe. Sur un terrain poussiéreux et gondolé à côté de l’hôpital de Patan (pour l'accès aux soins). Benoît jouait. Il a pris cela avec philosophie : "ils sont plus forts". Fine analyse.
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En rouge, les britanniques ( ;-) ), en blancs les amerloques. Beau terrain, non. |
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Photo des vainqueurs par leur fan club venu en masse (bon, j'étais seule de l'autre côté) |
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Au fond, les britanniques se font remonter les bretelles. |
Troisième déroute, Hugues est allé voir un ami samedi soir. Son programme était d'y passer la soirée, la nuit, la matinée... et de rentrer avant la nuit, avant 17h15. Il est arrivé à 18h30. Comme une fleur. Ses explications : les parents de son pote l'ont invité dans un resort au sud de la ville et ils ont mis trois heures pour rentrer : embouteillages. Il ne pouvait pas prévenir : il n'avait pas les numéros de téléphone de la maison ; Internet était en panne chez son copain. Son copain ne répondait pas sur son portable : il a perdu son chargeur. Bref, vous feriez quoi à ma place ?
Quatrième déroute, il va falloir songer à réparer le chemin à Saint Nizier. Cela me mine. J'aime pas louer ma maison. Voilà, c'est dit.
Pour me consoler, voilà la dernière anecdote des canadiens. Ils sont bien arrivés à Lukla par l'hélicoptère. Ils y sont encore. Ils attendent leurs porteurs et leur matériel ... qui, eux, n'avaient pas droit à l'hélico. Ils se sont reposés en les attendant.
Consolation des enfants, Isabella leur a fait passer via Yves le colis suivant. Devinez qui est content ?
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Le gros, là, 5 kg. |