vendredi 29 novembre 2013

En attendant le compte rendu

Là, nous sommes tous à fond. Ce sont les FOBISSEA games mais il va falloir attendre avant de savoir s'il s'agit d'une pré-version des hunger games, d'un nouveau loisir aquatique... en tous les cas, ça nous maintient occupé (très !). Et transforme la maison en un vaste hall de gare. Reportage complet bientôt (ça c'est du teasing).

Pour vous permettre de patienter, une présentation de mes talents d'artistes (pouf pouf). Non, sans rire, je pense le prendre comme symbole pour une nouvelle religion. Y a un marché ? Sinon, une carte de visite. Comment ? il faut que je travaille encore ? Sans cœurs !

Là, c'est le symbole de la nouvelle religion : le cube central ! Tous à genoux.
Et là, la médaille de la meilleure maman... pas crédible non plus ?





Sinon, les embouteillages sont de retour, c'est assez hallucinant. Nous battons des records de lenteur. Le plus drôle que j'ai vu ? Imaginez deux bus côte-à-côte (oublions motos et vélos qui se faufilent, zigzaguent entre-eux). Les deux bus sont bloqués et les chauffeurs discutent avec force gestes : celui de droite tourne à gauche et celui de droite à gauche. Logique. Limite normal.

Et les policiers là-dedans ? Ils aspirent les fumées et les poussières à plein poumon.

Respire ! Prouve que tu exiiiistes !

Pas facile non plus de se faufiler entre les véhicules...


mercredi 27 novembre 2013

Bon anniversaire les jumeaux !

Les jumeaux Garcin fêtent aujourd'hui leur 13e anniversaire. Et en cadeau, terminé cette nuit à point d'heures, le film de leur trek ici au Népal.

Sinon, pour le voir directement sur Youtube c'est ici.

Là, je vous laisse, j'ai cours de barbouillage. Les water colors (aquarelles) avec moi, c'est retour à la maternelle... on fait des grosses tâches, on souffle dessus, on mélange les couleurs jusqu'au plus répugnant caca d'oie possible... c'est top. Je retrouve mon âme d'enfant :-)

Dernière remarque : vous allez comprendre pourquoi je n'aime pas les voix off...

Suite de l'article précédent...

Ben oui, il n'est pas si facile que cela ce col... Retranscription ci-dessous d'un mail envoyé aux 2 Marie (les épouses de Christian et Patrick G.) et à Yves :



Appel presqu’à l’instant – je dirai pourquoi – de Patrick W. Ils n’ont pas réussi à franchir l’Amphulapsa. Trop de neige. Trop fatigués à brasser de la neige. Ils sont redescendus et sont à Karré. Ils devraient arriver demain soir à Lukla et le groupe va se scinder : Patrick G + Christian + Phonindra et Nir (son frère) prendront l’avion le 30 pour Katmandou (mince faut faire leur lit) ; Audrey va faire un peu de tourisme ; Patrick W va monter à toute vitesse à la pyramide pour y être le 30 (au soir j'espère).

Les porteurs ont un jour de retard sur eux. C’est pour cela que vos hommes ne voleront que le 30. Vous ne recevez ce mail que maintenant car j’ai appelé Catherine pour le changement des billets d’avion pour ces 4 lascars. :-)

Patrick W. travaillera en aller-retour depuis la pyramide sur le glacier du Changrinup. Il ne pourra pas faire tout ce qui était prévu – dont la photogramétrie – mais doit absolument décharger les stations. A partir du moment où il sera dans la vallée du Khumbu (le 29, on va dire) il sera joignable sur son portable. Ça c’est pour Yves.

Pas facile la vie d'artiste...



mardi 26 novembre 2013

Je viens de comprendre...

Hier, avec Béatrice et Catherine, nous sommes allées à l'hôtel Shanker - bel hôtel d'architecture Rana, c'est à dire comme chez l'ancien roi - pour un diaporama de Gerda Pauler. Cette allemande a parcouru dans son intégralité le GHT ou Great Himalaya Trail soit 1700 km en 123 jours.

Ce sentier, dans sa version montagneuse, traverse de nombreux cols dont la plupart à plus de 5000 mètres (les autres comptent pour du beurre) pour rallier l'Est du pays à l'Ouest. Pratique pour avoir une vision en longueur des paysages et préparer les futurs treks. Et là, Gerda a projeté des images de l'Amphulapsa... le col que les canadiens n'ont pas franchi avec leurs 300 kilos de matériel. Et tout d'un coup, j'ai compris.

Si vous voulez vous aussi comprendre, je vous invite à aller voir cette page... et vous me direz ensuite.

Pour en savoir plus Gerda, c'est ici.


dimanche 24 novembre 2013

Déroutes...

Multiples déroutes ce week-end pour la famille wagnon. Concentrées sur la capitale a priori.

Cela commence par notre Mickey de service : nous avons une souris - un rat ? - qui habite dans la maison depuis maintenant un mois. Les pièges sont inefficaces ; on a tenté de la brûlée, rien ; et elle continue ses dégâts impitoyablement. Ce matin, nous avons trouvé des copeaux de bois, des sacs en plastique en lambeaux - biquette se prépare pour l'hiver - et des pommes rognées. Elle a laissé le pain tranquille. Merci.


les copeaux dans le placard : par où veut-elle aller ?

Trognons de pomme : elle les a fait tomber dans la cendre auparavant, sans soin, va.

Deuxième déroute, cuisante, l'équipe de la British School a pris une rouste face à celle de la Lincoln. 1 à 9 ou 10, ce n'est pas le nombre de joueurs, mais le score. Aïe. Sur un terrain poussiéreux et gondolé à côté de l’hôpital de Patan (pour l'accès aux soins). Benoît jouait. Il a pris cela avec philosophie : "ils sont plus forts". Fine analyse.
En rouge, les britanniques ( ;-) ), en blancs les amerloques. Beau terrain, non.

Photo des vainqueurs par leur fan club venu en masse (bon, j'étais seule de l'autre côté)

Au fond, les britanniques se font remonter les bretelles.
Troisième déroute, Hugues est allé voir un ami samedi soir. Son programme était d'y passer la soirée, la nuit, la matinée... et de rentrer avant la nuit, avant 17h15. Il est arrivé à 18h30. Comme une fleur. Ses explications : les parents de son pote l'ont invité dans un resort au sud de la ville et ils ont mis trois heures pour rentrer : embouteillages. Il ne pouvait pas prévenir : il n'avait pas les numéros de téléphone de la maison ; Internet était en panne chez son copain. Son copain ne répondait pas sur son portable : il a perdu son chargeur. Bref, vous feriez quoi à ma place ?

Quatrième déroute, il va falloir songer à réparer le chemin à Saint Nizier. Cela me mine.  J'aime pas louer ma maison. Voilà, c'est dit.

Pour me consoler, voilà la dernière anecdote des canadiens. Ils sont bien arrivés à Lukla par l'hélicoptère. Ils y sont encore. Ils attendent leurs porteurs et leur matériel ... qui, eux, n'avaient pas droit à l'hélico. Ils se sont reposés en les attendant.

Consolation des enfants, Isabella leur a fait passer via Yves le colis suivant. Devinez qui est content ?
Le gros, là, 5 kg.







vendredi 22 novembre 2013

Nouvelles d'en haut - la suite



Patrick a téléphoné ce soir. Avec des bonnes nouvelles : la station est installée (ils en ont bavé, sont bien fatigués – Patrick G n’a pas mangé ce soir – et Christian traite les données), le programme respectée à la lettre et au jour près, la logistique et la cuisine impeccable, la « nénette » plus malade. Demain journée de repos, sauf pour Patrick W qui remonte vérifier le bon état de marche de la station. Après demain, ils quitteront le Mera pour passer le col de l’Amphulapsa et prévoient d’arriver le 27 à la pyramide. Yves et Michel les rejoindront le 28. Ainsi que l’équipe TV. Cette dernière ne passera pas le col : elle a pris un hélicoptère pour rejoindre Lukla (aujourd’hui) puis remonte à pied vers la pyramide pour les rejoindre le 28. Ils galèrent un peu côté logistique (si j’ai bien compris) mais ont pris de belles images (on a hâte).

Bref, impeccable. Patrick W voulait aussi connaître le résultat des élections. Pour l’instant, le parti du congrès et l’UML (parti communiste) sont au coude à coude pour la victoire. Le parti maoïste (dont la branche sécessionniste a appelé au boycott du scrutin) est dans les choux. Pour voir les résultats par parti, c’est ici : http://www.ekantipur.com/page/vote-count-parties/17/

Voilà, je crois n’avoir rien oublié. Ah si, Yves et Michel ont pris leur vol pour Lukla ce matin, sans souci. Ils ont dû croiser l’équipe TV là-bas. 

Yves a pu distribuer ses invitations pour sa conférence à Grenoble du mois de décembre et l’ambassade lui offre la gratuité pour les visas des népalais invités. C’est-y-pas beau, ça.



jeudi 21 novembre 2013

Devinez qui était-là ?

Réception à la résidence hier soir, la nouvelle ambassadrice voulait nous rencontrer, nous les gentils résidents français au Népal. Charmante, généreuse - excellent buffet préparé par Caroline ; champagne (en quantités raisonnables, 2 'tites coupettes) ; braseros multiples (oui c'était dans le jardin) -, elle a réussi son entrée. Pour chipoter, je n'ai pas vu son mari...

Dans son discours, elle a mis en avant que l'ambassade demeurait à Katmandou mais qu'elle allait déménager dans le cadre des économies qu'elle est tenue de mettre en œuvre. Aussi, elle compte sur la communauté pour rassurer les népalais sur la présence française dans le pays (à long terme). Et puis, est intervenue l'invité surprise :

L'invitée surprise... ben oui, la photo est ratée... et alors ?
Le flash sur mon nouvel appareil semble perfectible. L'invitée surprise était Eva Joly, venue nous rencontrer et nous donner les dernières nouvelles des élections népalaises. C'est la responsable de la délégation européenne pour le contrôle des élections. Ils ont eu une frayeur hier quand les maoïstes - qui sont en route pour une grosse "veste" - ont refusé de participer aux décomptes des voix. Ils craignaient ensuite un dérapage violent. Heureusement, plus tard, ils sont revenus sur leur décision.

Je suis contente, Eva est de mon avis : les élections se sont bien passées. Brave petite, va.

mercredi 20 novembre 2013

Chapeau bas !

Les népalais m'ont bluffé hier, lors des élections. Par leur taux de participation (70% environ, leur plus haut jamais enregistré) et par le calme hier lors du vote. Et pourtant, les maoïstes dissidents (et leurs partis amis) avaient appelé au boycott des urnes et utilisé la manière forte pour faire passer leur message : bombes lancés contre les bus et les camions (quelques blessés et un mort) ; grève de 10 jours... Mais les népalais sont tout de même allés voter.

Ils n'ont pas tenu rigueur non plus à la précédente assemblée élue en 2008 qui n'avait pas réussi à rédiger la constitution. Ils n'ont pas protesté contre les coupures d'électricité, le faible accès à l'eau (même non potable), les problèmes du système éducatif, la corruption... non, franchement, bravo.

Bravo aussi à M. Regmi, le président de la Cour Suprême. Il fut nommé à la tête du gouvernement provisoire lors de la dissolution du précédent parlement en avril 2012. Sa mission, organiser les élections. Je lui dis bravo (remarquez bien qu'il s'en fiche un peu...) car sa nomination fut très décriée (mélange des genres...) mais il a réussi à organiser ces élections et faire en sorte qu'elles se déroulent dans la paix. Et maintenant, une fois les résultats connus (dans une semaine) et les coalitions organisées, il retournera à la Cour Suprême. Sans s’accrocher au pouvoir.



Le bureau de vote est installé au pied du temple. L'armée est là comme la police.

Deux votes : un FPTP (le 1er obtient la place, scrutin à un tour) ; un PR (proportionnelle). Au final, il y aura plus de 600 députés.

Sous le regard - on l'espère - bienveillant du roi Malla

Le bulletin de vote pour la partie proportionnelle. Choisissez votre symbole.

Anecdotique : chouette, il parle de la France aujourd'hui dans le journal. Pour un français qui s'est vu refusé un vol sur la France depuis les USA. Trop gros (230 kg). No comment.

dimanche 17 novembre 2013

Non, mais ... quelles vues !

En ce moment, l'air est clair et la vue extraordinaire. Si, si ! Nous sommes montés à Nagarkot avec Catherine, Jean-François et Béatrice (nos copains suisses) et Carmen et Thierry (les amis de Catherine). Nuit dans notre hôtel favori et immense partie de Times up ! avant le repas.

Grande promenade le lendemain entre vue sur les montagnes et villages tamangs. Un très bon week end. Histoire de supporter les élections de demain ?
Au lever du soleil, un bonbec à qui trouve l'Everest !

Nuances de gris. 50 ?


Tranches de lumières. Allez encore plus facile pour l'Everest là, j'ai fait un zoom.

Table d'orientation rustique mais drôlement maligne. On attend l'appli 2.0 iPhonesque svp.

Pause piquenique.

Maison.

C'est la période de récolte des patates.

Village Tamang à 45 minutes de KTM

Pesticidage des patates.

mercredi 13 novembre 2013

Rolwaling - le film

Et oui, le voilà... enfin, il est en cours de traitement. Cela ne saurait tarder.

Quelques remarques : je n'aime pas les photos en hauteur (trop de manip pour les monter ensuite) ; beaucoup d'images d'Hervé (j'attends des explications), j'hésite à augmenter la durée des photos (vous me direz svp ?).


Pour le voir sur Youtube, c'est ici.

Dernières nouvelles du Canada au Népal : ils ont récupéré cuisinier, matériel et générateur. Même la grue. Ils montent la grue pour filmer - du haut - Patrick partant sur le glacier... Et moi, mauvaise langue, "pourvu qu'il mette son bonnet..." :-)

Indécrottable non ?

Nouvelles de là-bas



J’ai reçu un appel téléphonique de Patrick tout à l’heure. Le message principal est « tout va bien pour les scientifiques ». Ils sont arrivés à Karré, en bonne forme à l’exception de la « nénette » (aubry ?) qui les accompagne et qui a un léger mal d’altitude. Elle va s’acclimater tranquille puis les rejoindra d’ici deux jours sur le glacier. Ils ont un temps splendide, sans vent, avec 50 cm de neige tassée aux alentours. Au niveau de la logistique, tout s’est impeccablement déroulé. Ils ont tout leur matériel, en bon état ; leurs porteurs bien équipés ; le cuisinier déjà au travail avec les EXCELLENTES confitures (et pour Patrick c'est important ça) ; ils ont coupé leurs bambous à Koté comme d'habitude...

Si je dis cela, c’est en référence aux pauvres canadiens… Evelyn, si vous lisez cela, peut-être comprendrez-vous mieux la « grosse colère » de Patrick avant de partir. Il était sûr à 80% que cela allait se passer comme cela. Et cela fait qu’il se retrouve à bosser en permanence que ce soit pour sa mission ou pour apporter de l’aide à l’équipe tv (ben oui, ce n’est pas un chien tout de même…).

Alors, les nouvelles des canadiens : leur logistique commence à arriver à Karré. C’est-à-dire, leur cuisinier. Jusqu’à présent ils se sont débrouillés dans les lodges. Il leur manque du matériel dont la grue et le groupe électrogène (si j’ai bien compris). Mais, Patrick a bien insisté là-dessus, ils ont réussi à faire de belles images. Ils n’ont pas avec eux leurs porteurs d’altitude. Leur agence n’a pas compris leur demande : elle n’a pas prévu de porteurs pour passer l’Amphulapsa, ne les a pas équipés (même pas de corde pour aller sur le glacier du Méra!). Ils (qui ??? je ne sais pas) envisageraient (attention, conditionnel) des héliportages de part et d’autre du col. En l’état actuel des choses, ils ne peuvent pas franchir le col. Quant à monter la grue au sommet… Je crois aussi qu'ils ont un problème avec leur téléphone sat mais la ligne était mauvaise donc je n'ai pas bien compris. Bref, ils galèrent comme des fous et Yannick donne de sa personne pour que cela fonctionne du mieux possible.

En comparaison, pour Patrick and co, tout roule. Seul hic, Patrick a oublié un câble (dont il n’aura peut-être pas besoin) à ICIMOD. Jo vient de le prendre dans son armoire, je le récupère chez lui, je le transmets à Catherine qui le met dans l’avion pour Lukla. Nimanoru le choppe à la descente d'avion, le file à un porteur… cela peut marcher s’il reste des porteurs faisant ce trajet... Il n'en a pas besoin avec le 24 alors...

Allez une note positive pour finir : le moral de tous est très bon. C’est pas beau ça !

lundi 11 novembre 2013

L'édition du jour

Actualité très riche en ce mardi 12 novembre.

Au niveau national, un calme inhabituel règne. Absence de voitures, de camions, de bus... 36 partis entament leur deuxième jour de bandha (grève) sur les 10 annoncés. Ces manifestations sont un signe de refus des élections du 19 novembre. Certaines écoles ont fermé, les transports sont interrompus, les magasins ouvrent à moitié - les rideaux sont baissés sur les vitrines mais les portes sont ouvertes - et les discours politiques retentissent dans la ville. Les agences de voyage basculent en mode panique : c'est encore la haute saison, elles stressent de voir leurs gentils membres bloqués dans les transports ou dans Katmandou.

 Immense avantage : les poussières retombent au sol et les montagnes apparaissent.

Une grande rue vide ! Le bonheur.

Massif du Langtang au nord de la maison. Personne sur les terrasses pour en profiter.

Swayambudnath et le massif des Ganesh Himal. J'ai pique-niqué au pied du bidon d'eau pour profiter de la vue.

Original ! Des nœuds dans les fils électriques...

Sports. Une décision familiale d'importance a été prise lors du repas du soir. Nous allons marcher dimanche. En famille. Le samedi est libre pour ces adolescents. Luc et Hugues cherchent à se faire inviter samedi. Benoît suivra dans la foulée. J'irai au futsal, histoire de continuer ma collection de bleus, de bosses et de plaies. Le foot féminin évolue... Pas de nouvelles des montagnards. Ils ont atterri à Lukla, c'est déjà ça.

Culture. En rangeant ma chambre, j'ai trouvé un numéro de l'Express apporté par Bertrand et Hervé. J'en suis toute guillerette. Cela m'aide à procrastiner le montage du film sur le Rolwaling (c'est long, très long). J'ai aussi trouvé la suite de "la chute des géants" de Ken Follet. Plus de 1000 pages en petits caractères. Le film n'est pas fini.

Météo. Un temps splendide mais frais sur la capitale népalaise. 9° au réveil (à l'extérieur), 23° au plus haut. Hugues réclame quotidiennement le retour du chauffage matinal dans la maison.

En plus, les roses de Noël fleurissent.
Horoscope. J'ai besoin d'aide pour comprendre l'horoscope népalais. Je cite :
Bélier : il n'en faut pas beaucoup pour vous persuader que tout va bien dans la réalité de vos relations aujourd'hui. Vous pourriez même vous en convaincre sans même essayer. Malheureusement, vous pourriez tenter d'occulter les faits si vous réalisez combien sont complexes les sujets qui attendent une solution maintenant.
Cancer : vous pourriez vouloir prendre une journée de congé car vous vous rappelez tout ce que vous devez faire et qui n'est pas lié à votre travail. Bien que vous soyez capable d'envisager cette journée idéale, une chose ou l'autre vous empêche de l'avoir.

Tout est à l'avenant... des idées ?