dimanche 24 novembre 2013

Déroutes...

Multiples déroutes ce week-end pour la famille wagnon. Concentrées sur la capitale a priori.

Cela commence par notre Mickey de service : nous avons une souris - un rat ? - qui habite dans la maison depuis maintenant un mois. Les pièges sont inefficaces ; on a tenté de la brûlée, rien ; et elle continue ses dégâts impitoyablement. Ce matin, nous avons trouvé des copeaux de bois, des sacs en plastique en lambeaux - biquette se prépare pour l'hiver - et des pommes rognées. Elle a laissé le pain tranquille. Merci.


les copeaux dans le placard : par où veut-elle aller ?

Trognons de pomme : elle les a fait tomber dans la cendre auparavant, sans soin, va.

Deuxième déroute, cuisante, l'équipe de la British School a pris une rouste face à celle de la Lincoln. 1 à 9 ou 10, ce n'est pas le nombre de joueurs, mais le score. Aïe. Sur un terrain poussiéreux et gondolé à côté de l’hôpital de Patan (pour l'accès aux soins). Benoît jouait. Il a pris cela avec philosophie : "ils sont plus forts". Fine analyse.
En rouge, les britanniques ( ;-) ), en blancs les amerloques. Beau terrain, non.

Photo des vainqueurs par leur fan club venu en masse (bon, j'étais seule de l'autre côté)

Au fond, les britanniques se font remonter les bretelles.
Troisième déroute, Hugues est allé voir un ami samedi soir. Son programme était d'y passer la soirée, la nuit, la matinée... et de rentrer avant la nuit, avant 17h15. Il est arrivé à 18h30. Comme une fleur. Ses explications : les parents de son pote l'ont invité dans un resort au sud de la ville et ils ont mis trois heures pour rentrer : embouteillages. Il ne pouvait pas prévenir : il n'avait pas les numéros de téléphone de la maison ; Internet était en panne chez son copain. Son copain ne répondait pas sur son portable : il a perdu son chargeur. Bref, vous feriez quoi à ma place ?

Quatrième déroute, il va falloir songer à réparer le chemin à Saint Nizier. Cela me mine.  J'aime pas louer ma maison. Voilà, c'est dit.

Pour me consoler, voilà la dernière anecdote des canadiens. Ils sont bien arrivés à Lukla par l'hélicoptère. Ils y sont encore. Ils attendent leurs porteurs et leur matériel ... qui, eux, n'avaient pas droit à l'hélico. Ils se sont reposés en les attendant.

Consolation des enfants, Isabella leur a fait passer via Yves le colis suivant. Devinez qui est content ?
Le gros, là, 5 kg.







3 commentaires:

  1. Coucou les cocos! OUF!!! J'arrive à temps pour donner un avis me concernant directement ; pour Hugues, il a visiblement pensé à toutes les solutions possibles et imaginables pour prévenir Sa Môman!!! Pas de sa faute si il vit dans un pays où les nouvelles technologies ne sont pas tjrs au top de leurs performances... Je vote donc la relaxe!
    Gros bisous à tous, surtout à mon Hugues en l'espérant guéri (mais comme il découche, j'en conclus que c'est le cas!)
    Nato

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  2. Nato, tu es partiale ! Si, si, si. En plus, ton charmant filleul renâcle à me communiquer le téléphones des parents pour que je vérifie sa version (plus subtilement, je lui ai dit que, pour ma tranquillité personnelle, je souhaite le numéro de téléphone des parents de ses copains où il se rend ; ben oui, avec ces portables, il n'y a pas d'annuaire...).
    Hugues va bien mieux, son rhume est passé mais pas l'adolescence.... (oui c'est mesquin... j'assume).
    Bisous

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  3. euh... c'est le rayon vert au Népal? ou c'est un nouveau genre 70's?

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Merci pour ce commentaire. Vous lire nous enthousiasme, nous réjouit et nous émeut. Si, si, si. Je les attends avec hâte à chaque fois.